Elisabeth Delacarte le rencontre à ses débuts en 1986. Elle reconnait le talent d’un véritable artiste au potentiel exceptionnel, représenté depuis dans sa galerie. Ses pièces enrichiront bien des Musées, du musée des Arts Décoratifs au Victoria & Albert Museum.
Le néo-zélandais Mark Brazier Jones débute sa carrière en créant les sets de clips rock, pour Queen, Duran Duran ou Bowie…7 ans à voir ses décors détruits au clap de fin.
Lassé de l’éphémère, il se consacrera sans compromis à la sculpture. Il fonde avec ses amis Tom Dixon et Nick Jones le groupe 'Creative Salvage' que rejoindra ensuite André Dubreuil.
En 1986, il a trouvé sa voie: l’Art fonctionnel. Il peint au fer à souder et forge la beauté sur l'enclume en sculptant des matériaux récupérés. Ces premiers objets d’art entrent alors à la galerie Avant Scène, initiant une relation qui ne cessera plus.
Fervent admirateur du Bernin, l'un des artistes majeurs de l'époque baroque italienne, Brazier-Jones puise aux sources de l'imaginaire intemporel.
Passionné d'ésotérisme et de science fiction, il ne cesse de décliner sa créativité surprenante en jouant des symboles universels.
Associant bronze, cristaux, métaux et tissus, il porte chacune de ses créations avec le soin méticuleux d'un enfant fantasque pour lequel aucun rêve n'est inatteignable.
Monographie "Mark BRAZIER JONES". Editeur Fiell Publishing.