« Son marteau frappe le métal avec précision et cela devient comme une écriture automatique – une inscription énergétique sur une bande de laiton ou l’aluminium.
A la fin, le métal a fidèlement préservé chacun de mes gestes, et si moi j’ai perdu la notion du temps, le matériau lui l’a conservé exactement, comptant chaque coup.
«Quand la sculpture est achevée, maintenant habitée, le dialogue continue mais cette fois-ci avec la lumière, l'espace et le regard du spectateur. »
Jacques Jarrige